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  • BOUDU

Constant Despres, pianiste prodige

Les démons de la musique

Lorsqu’il voit le jour en 2006, Constant mesure très vite l’importance de la musique dans sa famille . Entre un père auteur-compositeur, notamment des Démons de minuit pour le groupe Images, et une mère indienne très portée sur Ravi Shankar, rien d’étonnant à ce qu’il débute son apprentissage musical à l’âge de 4 ans dans la chorale La Lauzeta.


Du talent et du travail

Le jeune garçon développe de telles capacités pour la musique que ses parents l’inscrivent au Conservatoire avant son 6e anniversaire, où il intègre la classe de Véronique Grange, qui veille toujours sur son petit protégé. Mais le talent sans travail ne servant à rien, Constant ne rechigne pas, malgré son jeune âge, à la tâche : en moyenne, il pratique 3 heures par jour, 6 jours sur 7.


Déterminé

Un investissement qui porte ses fruits à en juger par les nombreux prix qu’il obtient depuis 2015, dont une sélection pour l’émission Prodiges sur France 2, et qu’il sait nécessaire pour parvenir à intégrer le Conservatoire supérieur de Paris, pour, à plus long terme, devenir concertiste. « Travailler les morceaux, ce n’est pas forcément très agréable. Ça peut même être lassant. Mais quand je les joue, notamment devant du public, je comprends pourquoi. »


(Presque) normal

L’investissement a beau paraître très lourd pour un si jeune garçon, Constant se considère comme un garçon « normal ». Il adore l’école, a une amoureuse, Alicia, qui fait de la danse. Il joue au tennis et fait de l’Aïkido, même si ce n’est pas « très recommandé pour le piano ». Conscient de sa chance de jouer avec un orchestre à la Halle aux Grains, il déjoue le stress en pratiquant la sophrologie.



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