Florent Boisseau n’est pas le premier chef de la famille. À l’image de son frère, il choisit cette profession qui le ramène à ses souvenirs de petit garçon, observant sa grand-mère aux fourneaux. Après ses études de cuisine, le Limougeaud poursuit sa formation en intégrant plusieurs maisons à Poitiers et Cassis, avant d’ouvrir avec des associés son propre restaurant, baptisé « Cécile », où il profite de sa proximité avec le marché des Carmes pour proposer une cuisine de saison qui fait la part belle aux fruits et légumes de saison.

Votre premier émoi gustatif ?
La canette Apicius de Hervé Lussault
Le plat que vous détestiez enfant ?
Les endives au jambon
Votre madeleine de Proust ?
Le lait chaud au miel de ma mère
Le plat le plus difficile à réaliser ?
Le lièvre à la royale et les sauces en général
Votre plat « signature » ?
Les plats terre et mer
L’aliment que vous préférez ?
Les coquillages et crustacés
Celui que vous détestez ?
Les nèfles et la cannelle
Les pires associations ?
Je ne suis pas sûr qu’il en existe vraiment.
Votre péché mignon ?
Pain perdu sauce caramel
Vos sources d’inspiration ?
Les repas en famille, les échanges avec les copains du métier et la cuisine méditerranéenne
Le piège en cuisine ?
Le manque d’humilité et la fermeture d’esprit
Le pire souvenir en cuisine ?
Attaquer un service avec les frigos vides
Votre penchant alimentaire honteux ?
Les cordons bleus industriels
Le plat ou le produit pour lequel vous êtes prêt à faire 100km ?
Le soufflé au fromage de ma grand-mère
Votre mentor ?
Dimitri Droisneau, chef du restaurant La Villa Madie à Cassis
Le chef que vous admirez le plus ?
Daniel Gonzalez, chef du restaurant Ô Saveurs à Rouffiac-Tolosan
L’aliment le plus bizarre que vous ayez mangé ?
Le caviar d’escargots (les œufs d’escargots) restera un souvenir très particulier pour mes papilles.
Si vous étiez un ustensile de cuisine ?
La cuillère : toujours à proximité pour goûter les préparations ou sublimer un dressage