Aux Sept-Deniers, entre périph’ et Ernest-Wallon, l’usine de dépollution des eaux usées de Ginestous a consacré ces deux dernières années 10 millions d’euros de travaux à la réduction des nuisances olfactives. Si, au cœur de la station, des dizaines de capteurs high-tech évaluent quotidiennement les émanations, la machine la plus sophistiquée et la plus fiable pour mesurer les odeurs désagréables reste l’appendice nasal des voisins. D’où la démarche de Eau de Toulouse Métropole, qui vient de recruter, former et doter d’une application mobile d’alerte plusieurs dizaines de riverains volontaires domiciliés dans une zone d’1 km autour de l’usine. En voici quelques-uns, saisis lors de leur formation olfactive le 25 novembre dernier.
Au dernier rang de gauche à droite : Francis, Khereddine, Philippe, Yoan Beaujon (responsable de l’usine), Didier, Chloé, Thierry
Au premier rang de gauche à droite Marie-Claire, Gaëlle, Christophe, Justine, Sabine, Marie-Agnès, Anne-Sophie, Hélène, Géraldine.
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