Ils ont entre 23 et 39 ans, viennent d’Ariège, Mazamet, Picardie ou Toulouse, ne se connaissaient pas il y a encore trois ans, et font rougir de gêne (ou de plaisir) les clientes de leur échoppe lorsqu’ils déploient leurs sourires carnassiers. Angelo, Jean, Mickaël, Pierre Vincent et Nicolas symbolisent la spectaculaire évolution du métier de boucher. Installés depuis deux ans et demi à la Boucherie des copains aux Minimes, ils contribuent à casser l’image un peu vieillotte du boucher en tablier blanc.
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