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Nouveaux habits – François Piquemal

Dernière mise à jour : 4 févr.

Le 19 juin 2022, il troquait son costume de militant du DAL (Droit Au Logement) contre celui de député de la Nupes. Un peu plus d’un an après avoir fait son entrée dans l’hémicycle, François Piquemal  fait le bilan d’une année de vie de parlementaire et nous confie ses espoirs de voir Toulouse basculer à gauche lors de la prochaine élection municipale. À condition de réussir l’union…



Comment allez-vous un an après avoir fait votre entrée à l’Assemblée nationale ? Très bien, même si de mémoire de parlementaires, rarement une année aura été aussi mouvementée entre la réforme des retraites, la nouvelle configuration politique, la crise dans les banlieues, l’inflation, le conflit en Ukraine, etc.


Qu’est-ce qui vous a le plus surpris ? L’attente qu’il peut y avoir à notre égard. Elle vient de loin pour notre famille politique. Beaucoup de gens nous ont dit : « C’est la première fois que l’on gagne une élection ». Je ne m’attendais pas à cette fierté d’avoir des représentants de LFI-Nupes. La Nupes représente encore un immense espoir pour ceux qui ne veulent pas se résoudre à un duel Macron-Le Pen.


Quel accueil avez-vous reçu à votre arrivée ? Le groupe LFI qui était jusqu’alors composé de 17 députés, a été un peu débordé par l’arrivée massive (75) de ces nouveaux élus qui pour la plupart étaient des militants de longue date et pas prédestinés à devenir députés. Un apprentissage accéléré a donc été nécessaire pour comprendre le fonctionnement de l’Assemblée nationale. Parce que les textes de lois sont arrivés très vite, notamment sur les questions budgétaires.

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