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Patinage artistique - Pour raconter une histoire

Dernière mise à jour : 23 janv.

Maëva Ongalé-Obeyi, 28 ans, ingénieure en mathématiques appliquées chez Thales, patine avec le Toulouse Club Patinage depuis l’âge de 20 ans. 



« J’ai toujours fait beaucoup de sport, (basket, tennis, baseball, football américain) sans jamais me passionner pour aucun. Mais quand j’ai commencé le patinage à l’âge de 20 ans, je n’ai plus eu envie d’arrêter. Quand j’étais petite, ma mère regardait le concours olympique de patinage à la télévision. J’avais l’impression que c’était super simple… mais ça ne l’est pas du tout. C’est beau, mais c’est plus technique que beau. J’ai rarement connu un tel dépassement de soi. Depuis que j’ai intégré le ballet de mon club et commencé la compétition, j’attache plus d’importance à la performance qu’à la technique. Comme au théâtre, si on connaît ses lignes c’est bien, mais si on joue mal, on ne transmet rien. On est là pour émerveiller, raconter une histoire, transmettre de l’émotion. Le fait de chuter ou de faire un mauvais saut n’y change rien. Aujourd’hui, j’ai besoin de ma dose de patin pour me sentir bien. »


Maëva Ongalé-Obeyi


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