Cartes, panneaux, plans et bornes seront devenus obsolètes, et rien ne rappellera plus l’existence de cette ligne torturée qui reliait jadis le Cantal à la principauté d’Andorre. Rien, si ce n’est cette suite de clichés glanés au hasard de ses courbes, et ces réactions recueillies au bord des chemins. Une façon de faire, en bonne et due forme, nos adieux à la frontière.
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