Que ce soit à bord d’un camion-douche devant un squat du quartier des arènes ou au centre social du Grand Ramier, ils ont profité d’un instant de répit sous un pommeau où près d’un radiateur. Puis en sortant, ils ont accepté de poser. Ils sont les visages de statistiques en constante augmentation. Quelques noms parmi les 8500 personnes qui composent le 115 chaque année à Toulouse. Quelques-uns des 1500 sans abris ou mal logés de la ville. Des gens normaux, parmi d’autres gens normaux.
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