Nino
Il est des modes qui ne sont visiblement pas prêtes de s’arrêter. Comme celle, pour les chefs étoilés, d’ouvrir un second restaurant plus accessible en termes de prix pour donner un avant goût de leur cuisine. Fraîchement distingué par le Michelin avec le Py’R (en 2016), Pierre Lambinon n’a pas dérogé à la règle en ouvrant Nino dans la rue Peyrolières, pourtant déjà très bien fournie en restaurants. En association avec son frère Clément, sommelier, et Xavier Saffon-Pérès, maître d’hôtel, il a souhaité donner un esprit brasserie à ce deuxième établissement, avec l’objectif affiché de proposer le meilleur rapport qualité/prix possible. Ambitieux… mais réaliste. Pour environ 30 euros boissons comprises (il n’y a pas de menus) la qualité du repas est excellente. Les plats sont simples mais très bien cuisinés (notamment la cuisson du poisson), et l’accueil professionnel et souriant. Quant au cadre, où la brique blanche domine, il est lui aussi simple. Et classe. Nino, 26 rue Peyrolières
Et aussi …
Sera-t-il à la hauteur de son glorieux prédécesseur ? Notes et saveurs a la lourde tâche de remplacer le Renfort du Palais, l’une des bonnes adresses les plus méconnues de la Ville. À la carte de ce nouveau restaurant qui se transforme en bar à vins le soir, des produits locaux et plus de 120 références d’épices. Notes et saveurs, 4 place du Parlement
Le quartier Bayard poursuit sa mue. À la fois poissonnerie et restaurant, l’Atelier du pêcheur vient d’ouvrir ses portes. Le concept est simple : on choisit directement son poisson sur l’étalage qui est ensuite cuit à la plancha. Les tarifs varient chaque jour en fonction des arrivages. L’Atelier du pêcheur, 1 place Robert Schuman
L’hiver approchant, les envies de raclette réapparaissent. Cela tombe bien puisqu’un nouveau restaurant en proposant à volonté, Laraclet’, vient d’ouvrir dans le bowling du centre commercial Balma-Gramont. Avis aux amateurs. Laraclet’, 2 chemin de Gabardie