Culturez-vous, par Mathieu Bellisario

Parce que la jeune scène musicale toulousaine est foisonnante et qu’elle a besoin d’être soutenue, Boudu vous présente chaque mois, en partenariat avec Opus Musiques, un nouvel artiste. En octobre, Gabbie Burns, la chanteuse de Madam.

Pour la 4e rentrée culturelle consécutive, Boudu s’est une nouvelle fois tourné vers les programmatrices et programmateurs des salles de notre territoire pour faire son choix dans l’offre foisonnante proposée. LE spectacle à ne pas rater dans leur salle et celui qu’ils ne manqueront sous aucun prétexte chez leurs confrères, tel était le deal. Désormais, c’est à vous de choisir !

Difficile de se frayer un chemin dans l’univers impitoyable de l’industrie de la musique… surtout quand on n’a pas de carnet d’adresses ! C’est pourquoi est née il y a une dizaine d’années Opus Music, une association de passionnés bien décidés à donner un avenir à la jeune scène émergente toulousaine.

Parce que la scène émergente toulousaine est foisonnante et qu’elle a besoin d’être soutenue, Boudu inaugure, en partenariat avec Opus Music, une nouvelle rubrique dans laquelle vous sera présenté chaque mois un nouvel artiste. Ce mois-ci, daoud, l’enfant terrible du jazz.

Dans un essai paru l'an dernier, Alem Surre Garcia épuisait la question de la convivéncia occitane, cette idée complexe trop souvent réduite au vivre-ensemble. Alors que le festival éponyme traverse actuellement la région, Boudu est allé à la rencontre de cet octogénaire polyglotte, essayiste, dramaturge, enseignant, conférencier, traducteur et poète, qui écrit et court le monde pour propager sa vision de la culture occitane héritée des troubadours.

C'est une bande de filles qui construit sa propre histoire. Entre jeunes et anciennes, joueuses du cru et recrues, internationales et pépites en devenir, l’effectif des Rouge et Noir ressemble à une famille prête à affronter tous les défis. Sous la houlette du manager Olivier Marin et des deux anciennes du club, Céline Ferer et Laure Bourdon-Sansus, les féminines du Stade Toulousain ont réalisé une très belle saison couronnée par une place de finaliste du championnat de Franc

Musique(s) et cinéma au programme de cette sélection en mode « festival estival ». Des rendez-vous (souvent gratuits !) à ne pas manquer, à Toulouse bien sûr, mais aussi dans toute l’Occitanie. De quoi vous faire passer le plus beau des étés !

J'ai commencé à chanter en cachette. On m’a toujours encouragé à choisir Airbus plutôt qu'une carrière artistique. Aujourd’hui, je travaille effectivement chez Airbus, mais j’ai toujours la musique en tête. Je me suis mis à composer après le décès de mon grand-père. Lors de son enterrement, la chanson Mourir auprès de mon amour de Demis Roussos m’a bouleversé. C’était il y a quatre ans.

François Piquemal ne ménage pas sa peine pour gagner en visibilité. Au risque d’irriter une partie de la gauche qui lui reproche de la jouer perso.

On fêtera en juin les 30 ans du festival Rio Loco. Pour marquer le coup, Boudu sonde le cœur de deux artisans de sa renommée : l’actuel directeur artistique Fabien Lhérisson et son prédécesseur Hervé Bordier.

Qu'est ce que je peux faire à Toulouse en mai 2025 ?

Animateur de Radio Occitania depuis une dizaine d’années, Alexandre Chiavassa fait, ces dernières semaines, de plus en plus parler de lui.

e trio d’autodidactes derrière TAT Studio et TAT productions s’est taillé une place de choix dans l’animation 3D…

C'est un jour de grand vent d’autan, que la presse est conviée dans l’antre de TAT Studio.

Aux Dauphins du Toec, le club de Léon Marchand, les demandes d’adhésion ont explosé après les titres olympiques remportés cet été.

Les Toulousains de Trilogie Éditions ressuscitent le roman-feuilleton à la papa en s’inspirant des séries de plateformes de streaming.

Angélique Panchéri, toulousaine d’adoption décoiffante, protégée des Chevaliers du Fiel, cartonne à la Comédie de Toulouse

De passage à Colomiers, sa ville natale, Sayyid El Alami, est venu présenter en février le film La Pampa

Chilly Gonzales © Victor Picon Parmi les excentricités dont le Canada a gratifié le monde (au premier rang desquelles la poutine et les bagarres ritualisées des parties de hockey) Chilly Gonzales occupe une place à part. Ce pianiste montréalais se présente invariablement sur scène en peignoir et pantoufles, cultivant l’art du contraste : en brouillant les pistes entre classique, pop et rap. Derrière cette décontraction de façade se cache un mélomane d’une rare sophistication.